1. Les gains journaliers de l’or sont plafonnés à 1% (hausse maximale) ou 2% (hausse maximale élargie)
2. L’or n’est pas autorisé à enchainer plusieurs « rally »
3. L’or est attaqué à des heures précises – 15h, avant et lors de l’ouverture du COMEX, à l’ouverture du NYSE, à la fermeture de Londres, à la fermeture du COMEX, à l’ouverture des échanges à 18h, et opportunément lorsqu’il y a un faible volume de transaction.
4. L’or est attaqué à chaque fois qu’un gouvernement publie des statistiques « importantes », particulièrement le rapport mensuel des salaires non agricoles du vendredi.
5. L’or est attaqué lors de chaque information normalement haussière : guerre, troubles, crise économique et nervosité à Wall Street.
6. L’or est attaqué lors des expirations d’options sur le COMEX et dès le premier jour d’avertissement, pour s’assurer qu’un maximum de contrats expirent sans valeur, réduisant ainsi les livraisons.
7. Une attaque sur l’or est souvent confirmée par une attaque sur l’argent ou les actions HUI, ou les deux.
8. Les « flash crash » sans aucune explication obligent toujours à garder des positions longues spéculatives ou à perdre sur ses positions.
9. New York et Londres sont les « centres de baisse » du prix de l’or, donc le fixing de l’après-midi à Londres sera plus bas, ou pas plus haut de 5$, que la fixing du matin.
10. Les changements de marges sur le COMEX, à la hausse ou à la baisse, se font toujours au détriment des positions longues sur l’or.
11. L’or n’est jamais permis d’anticiper un développement haussier, ni d’être un baromètre des égarements d’une monnaie.
Source : http://www.gata.org/node/15250
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