Vous êtes sur le point d’apprendre un des plus grands secrets de l’histoire de l’humanité. C’est un secret qui a des effets considérables pour tous ceux qui vivent sur cette planète.
La plupart des gens sentent au fond d’eux-mêmes que quelque chose ne va pas avec l’économie mondiale, mais peu savent ce que c’est.
Les jours où on pouvait faire vivre sa famille avec un salaire sont finis ; chaque jour, il semble que l’on perde de plus en plus le contrôle des choses, mais seulement une personne sur un million comprend pourquoi.
Vous êtes sur le point de découvrir le système qui est responsable de la plupart des inégalités du monde d’aujourd’hui. Les pouvoirs en place ne veulent pas que vous soyez au courant, parce que ce système les a maintenu au sommet de la chaîne financière lors des 100 dernières années.
En en apprenant plus, vous allez changer votre vie parce que vous allez modifier les choix que vous faites. Si suffisamment de gens s’informent, le monde changera parce que le système changera.
Parce qu’il s’agit du plus grand secret caché de l’argent. Jamais autant de personnes ont été dévalisées par si peu.
Ils disent que l’argent ne pousse pas sur les arbres mais la vérité est que le système bancaire moderne crée de la monnaie beaucoup plus vite que que les arbres poussent.
La plupart des gens n’ont pas la moindre idée de la façon dont la monnaie est créée. Les économistes et les banquiers donnent l’impression que c’est si complexe, que les gens pensent qu’ils ne peuvent pas comprendre. Mais je vais explorer notre système monétaire jusqu’à son essence afin que vous puissiez comprendre l’arnaque et comment elle vous affecte.
Chaque société moderne crée de la monnaie de la même manière, mais vu que le dollar américain représente la plus grande partie de la monnaie du monde, je vais l’utiliser pour illustrer mes propos.
Tout commence lorsque certains politiciens disent « Votez pour moi et je vais m’assurer que le gouvernement vous donnera plus de trucs gratuits que mon adversaire ».
Mais il n’y a rien de gratuit. Donc pour pouvoir fournir autant de choses gratuites, les politiciens votent pour que le pays dépense plus qu’il ne gagne. C’est ce qu’on appelle le déficit budgétaire.
Pour payer cette dette, le Trésor emprunte de la monnaie en émettant une obligation.
Qu’est-ce qu’une obligation ? Ce n’est rien de moins qu’une reconnaissance de dettes avec des guirlandes. C’est un joli morceau de papier avec des numéros imprimés dessus qui dit « Prête-moi un billion de dollars aujourd’hui et je te promets que sur une période de 10 ans je vais te rembourser ce billion de dollars, avec les intérêts. »
Mais ce que vous devez comprendre, c’est que les obligations du Trésor sont notre dette nationale. Ces reconnaissances de dette doivent être remboursées par vous et moi et nos descendants via l’imposition future.
Par conséquent : Lorsque le gouvernement émet une obligation, il vole la prospérité de l’avenir afin de pouvoir l’utiliser aujourd’hui.
Le Trésor détient alors les enchères des obligations et les plus grandes banques du monde se présentent et se font concurrence pour acheter une partie de notre dette nationale et pour faire du profit avec en gagnant des intérêts.
Vous remarquerez pendant que nous évoluons dans ce processus les grandes banques prennent leur part à chaque étape. Ce n’est pas par hasard comme vous le verrez bientôt.
Ensuite, par un jeu de passe-passe appelé opérations du marché, les banques arrivent à vendre une partie de ces obligations à la Réserve fédérale avec bénéfice. Pour payer les obligations, la Réserve fédérale ouvre son grand chéquier et écrit des bons gros chèques en blanc qui doivent s’équilibrer, parce qu’ils sont sur un compte qui doit toujours avoir un solde à zéro, il n’y a jamais un centime dedans.
Pour citer la Réserve fédérale de Boston: « Quand vous ou moi écrivons un chèque, il doit être provisionné pour couvrir le chèque, mais quand la Réserve fédérale écrit un chèque il n’y a pas de dépôt bancaire sur lequel le chèque est écrit. Lorsque la Réserve fédérale écrit un chèque, elle crée de l’argent. »
La Fed remet ensuite ces chèques aux banques et à ce moment, de la monnaie est créé.
Les banques prennent alors cette monnaie pour acheter davantage d’obligations du Trésor aux prochaines enchères.
Mais qu’est-ce qu’un chèque ? Un chèque est également une reconnaissance de dette. Lorsque vous écrivez un chèque, vous faites une note qui dit : « Voilà une reconnaissance de dettes pour de l’argent comptant, tout ce que vous avez à faire est d’aller à la banque et de l’encaisser. »
Maintenant, c’est très très important que vous compreniez ce processus parce que nous allons y revenir plus tard et vous montrer l’effet dévastateur que cela a sur vous.
Le trésor émet des reconnaissances de dettes, des obligations.
Les banques achètent ensuite ces reconnaissances de dette avec la monnaie. La Réserve fédérale écrit ensuite des reconnaissances de dette (chèques) et les donne aux banques en échange de reconnaissances de dettes du Trésor, les obligations. Et la monnaie est créée.
Alors ce qui se passe vraiment, c’est que la Réserve fédérale et le Trésor sont tout simplement en train d’échanger des reconnaissances de dette, les banques servant d’intermédiaires, et abracadabra, la monnaie jaillit comme par magie.
Ce processus se répète encore et encore pour enrichir les banques et endetter le public en augmentant la dette nationale.
Le résultat, c’est qu’il y a une accumulation d’obligations de la Réserve fédérale et de monnaie au Trésor. Ce processus est également l’origine de la monnaie papier. La Réserve fédérale et le gouvernement l’appellent à tort l’« argent de base » parce qu’ils n’ont pas regardé l’épisode 1 de cette série, et ils ne connaissent pas la différence entre l’argent et la monnaie.
Mais je vais la nommer « Base monétaire » parce que ce n’est pas de l’argent c’est de la MONNAIE, et nous avons vu qu’il y a une grande différence : L’argent doit être une réserve de valeur et doit maintenir son pouvoir d’achat sur de longues périodes de temps.
Nous avons appris dans l’épisode 1 que plus tôt dans notre histoire, notre papier-monnaie n’était qu’un chèque à encaisser. C’était une représentation de l’argent réel avec une valeur intrinsèque, l’or et l’argent qui est déposé au Trésor. Vous pouviez entrer dans n’importe quelle banque et poser votre monnaie, disons par exemple un billet de 20 dollars sur le comptoir, et racheter de l’argent sous forme d’une pièce d’or de 20 dollars.
Mais maintenant, cette devise de base qui est en train de s’accumuler ici n’est rien de plus qu’un reçu, un chèque de réclamation sur une reconnaissance de dettes. Ce n’est rien de plus qu’un stock de chiffres.
Le Trésor dépose ensuite la monnaie nouvellement créée dans les diverses branches du gouvernement, et les politiciens disent « Eh, merci ! ». Le gouvernement dépense son déficit sur des travaux publics, des programmes sociaux et la guerre.
Les employés du gouvernement, les entrepreneurs et les soldats déposent ensuite leurs salaires la banque.
Maintenant, c’est peut-être choquant pour vous, mais quand vous déposez votre monnaie à la banque vous n’êtes pas en train de le déposer dans un compte en sécurité pour vous.
Au lieu de cela, vous êtes en train de prêter votre monnaie à la banque, et dans certaines limites légales,
ils peuvent en faire à peu près tout ce qu’ils veulent. Cela comprend le jeu de la Bourse, et les prêts à bénéfice, bien sûr.
C’est là que la machine à créer de la monnaie s’enraye, parce qu’il y a quelque chose appelé « prêt de réserve fractionnaire » qui entre en jeu.
Le prêt de réserve fractionnaire est exactement ce que son nom indique. Les banques peuvent réserver qu’une fraction de vos dépôts et doivent laisser le reste. Bien que les ratios de réserve peuvent varier, je vais utiliser un ratio de réserves de 10 pour cent pour notre exemple.
Si vous déposez 100 dollars dans votre compte, la banque ne peut légalement en prendre que 90 dollars pour les prêter sans vous le dire. La banque doit garder dix dollars de votre dépôt en réserve juste au cas où vous en voudriez un peu.
Ces réserves sont appelées « encaisses en billets ».
Mais pourquoi votre compte bancaire dit toujours que vous avez cent dollars si la banque en a volé quatre-vingt-dix ?
Parce que la banque a laissé des reconnaissances de dette appelées « crédit bancaire ».
Je sais que ça semble fou, mais c’est écrit noir sur blanc à la Fed : « Les banques commerciales créent de l’argent chèque lorsqu’ils accordent un prêt en ajoutant simplement de nouveaux dollars de dépôts dans des comptes sur leurs livres en échange d’une reconnaissance de dettes de l’emprunteur ».
Ce ne sont que des chiffres que les banques entrent dans leurs ordinateurs, et même si ces reconnaissances de dettes sont très différentes des numéros de la monnaie de base (parce qu’ils n’existent que dans dans les ordinateurs), ils sont encore monnaie. Alors maintenant, il y a cent quatre-vingt-dix dollars qui existent.
Les gens souscrivent à des prêts auprès des banques, pour acheter quelque chose. Ils vont acheter une maison ou une voiture ou quelque chose comme ça.
Donc, l’emprunteur prend les quatre-vingt dix dollars que la banque qui lui a prêté depuis votre compte, et il paie le vendeur de produit.
Mais alors, le vendeur dépose la monnaie sur son compte, et sa banque peut en prêter 90% et laisser le nombre de crédits bancaires à sa place.
Alors maintenant, il y a deux cent soixante et onze dollars en circulation.
Ce processus se répète et se répète jusqu’à ce qu’en vertu d’un ratio de réserves de 10 pour cent, un dépôt initial de seulement une centaine de dollars peut créer jusqu’à mille dollars de crédit bancaire, le tout soutenu par cent dollars d’encaisse en billets, seulement 10 pour cent.
Mais comme je le disais, les taux de réserves varient énormément sur certains dépôts, c’est 10 pour cent, sur d’autres c’est 3 pour cent et sur certaines formes de dépôts, les réserves obligatoires sont nulles ! Le résultat est que l’expansion de l’offre de monnaie par les banques est bien plus grande encore que cet exemple vous amène à croire.
Encore une fois, lorsque la monnaie est déposée dans les banques, les banques la prêtent et puis elle est redéposée, et reprêtée, redéposée, et reprêtée, et redéposée, et reprêtée, encore et encore, créant ainsi du crédit bancaire tout du long.
C’est de là que la grande majorité de notre approvisionnement en monnaie vient. En fait, 92 à 96 pour cent de toute la monnaie qui existe n’est pas créée par le gouvernement, mais par le système bancaire.
Maintenant, des quantités massives de monnaie crachée dans la société peuvent à première vue sembler être une idée amusante, jusqu’à ce que vous vous souveniez de l’un des secrets cachés de l’argent les plus importants de l’épisode 1 : les prix des biens et services courants agissent comme une éponge sur un apport de monnaie en expansion.
Plus il y a de monnaie, plus les prix augmentent. C’est là que l’inflation entre en jeu.
La vraie définition de l’inflation est une expansion de la masse monétaire, la hausse des prix n’en est que le symptôme.
Donc, notre masse monétaire n’est rien qu’une poignée de dollars dans cette escroquerie abracadabrantesque où le Trésor et la Réserve fédérale échangent des reconnaissances de dette glorifiés et une série de chiffres que les banques ne font que taper dans leurs ordinateurs.
C’est tout ! C’est notre masse monétaire toute entière.
Rien qu’un stock de chiffres. Certains d’entre eux imprimés, la plupart entrés dans un ordinateur, et il n’y a rien d’autre.
Mais si vous pensiez que c’était fou, préparez-vous à entrer dans la zone crépusculaire de l’économie moderne.
Nous travaillons pour une partie de cet approvisionnement en monnaie.
La vraie richesse est votre temps, mais nous bradons des moments de nos vies, heure après heure, jour après jour, année après année pour des numéros que quelqu’un a imprimé sur des morceaux de papier ou tout simplement entré dans un ordinateur.
Ces chiffres représentent notre sang, notre sueur, nos larmes, notre travail, nos idées et notre talent.
Nous sommes ce qui donne à la monnaie sa valeur.
Mais voici la plaisanterie la plus cruelle : nous travaillons dur, afin de pouvoir économiser une partie de cette monnaie, afin que nous puissions payer nos impôts. Aux États-Unis, c’est l’IRS qui va transmettre l’argent au Trésor, afin que le Trésor puisse payer le principal et les intérêts sur cette obligation que la Réserve fédérale a acheté avec un chèque écrit sur un compte avec rien dedans.
Maintenant, nous allons faire un récapitulatif sur cette section car c’est là que le système commence à vous voler à une échelle massive.
Une grande partie de nos impôts ne sont pas utilisés pour les écoles, les routes et les services publics, mais pour payer les intérêts sur les obligations que la Réserve fédérale achetées avec un chèque écrit sur un compte qui n’a rien dessus. La Réserve fédérale est en train de commettre une fraude.
Mais voici l’un des plus grands secrets de tous:
Avant la création de la Réserve fédérale, il n’y avait pas besoin d’impôt sur le revenu.
La Réserve fédérale a été créée en 1913 et cette même année, la Constitution a été modifiée pour permettre l’impôt sur le revenu.
Pensez-vous vraiment que c’était juste une coïncidence? Demandez-vous combien d’impôt sur le revenu vous avez payé au cours de votre vie. Une grande partie a été silencieusement siphonnée vers ceux qui possèdent le système.
Oui, ce système a des propriétaires. Qui ils sont, est encore plus secret, et nous allons y venir, mais nous devons d’abord comprendre le charabia du soi-disant « plafond de la dette ».
Tout est basé sur un énorme paradoxe: Il y avait des intérêts dus sur cette obligation, et il y avait des intérêts dus sur chacun de ces prêts que les banques ont fait.
Cela signifie qu’il y a des intérêts dus sur chaque dollar en circulation.
Permettez-moi de vous demander quelque chose: si vous empruntez le premier dollar qui existe et que c’est le seul dollar qui existe sur la planète, mais vous vous engagez à le rembourser avec d’autres dollars en intérêts, où obtiendrez-vous le deuxième dollar pour payer les intérêts?
La réponse est que vous devrez emprunter celui qui existe et promettre de le rembourser avec intérêt aussi, alors maintenant il y a deux dollars qui existent mais vous en devez quatre, et ainsi de suite.
Le résultat est qu’il n’y a jamais assez de monnaie pour payer la dette.
Il y a toujours plus de dettes dans le système qu’il n’y a de monnaie existante pour payer la dette.
Par conséquent, l’ensemble du système est impossible, il est fini, il viendra à une fin un jour.
Que se passerait-il si le gouvernement arrêtait d’emprunter pour faire du déficit budgétaire? Les paiements sur les obligations du Trésor ne vont-ils pas s’arrêter? Que se passerait-il si le public cessait d’emprunter et de s’endetter encore plus? Est-ce que votre maison et les paiements de voiture vont s’arrêter?
Non, il y a une échéance chaque mois sur le principal majoré des intérêts sur chaque dollar en existence et ces paiements ne s’arrêtent pas.
Si nous nous arrêtons d’emprunter, alors aucune nouvelle monnaie est créée pour remplacer la monnaie que nous avons utilisée pour effectuer ces paiements.
Que vous effectuiez un paiement sur un prêt ou payiez un impôt pour effectuer un paiement sur une obligation, la partie du paiement qui sert à rembourser le capital éteint cette partie de la dette. Mais la dette détruit également la monnaie.
La monnaie et la dette sont comme la matière et l’anti-matière. Quand elles se rencontrent, elles s’annihilent.
Si nous venons de rembourser le capital seulement sur tous les prêts et les obligations qui existent, toute le stock de monnaie disparaît tout simplement.
Donc, si nous ne sommes pas endettés plus chaque année regardez ce qui arrive: le tout s’enfonce dans un effondrement déflationniste sous le poids de ces paiements.
Les politiciens et les experts parlent d’équilibre budgétaire de remboursement de la dette et de vivre selon nos moyens.
Ils ne comprennent pas que c’est déflationniste. Il est impossible de le faire avec notre système monétaire actuel sans faire s’effondrer l’économie dans son ensemble.
C’est pourquoi toute discussion sur un plafond de la dette n’est pas seulement ridicule, c’est une illusion. Le système est conçu pour exiger des niveaux toujours croissants de dette juste pour continuer, et c’est pourquoi les politiciens botteront toujours en touche et relève ce fameux « plafond de la dette », encore et encore jusqu’à ce que tout le système s’effondre enfin sous son propre poids.
En d’autres termes, ils ne veulent pas qu’il s’effondre sous leur mandat.
Les pères fondateurs des États-Unis connaissaient les dangers de la banque central ont lutté pour se libérer de cette chose même.
La guerre révolutionnaire a commencé par une révolte fiscale, mais maintenant nous devons payer un impôt juste pour avoir un système monétaire.
Ayant souffert de l’hyperinflation du Dollar Continental, qui a été imprimé dans l’oubli pour financer la guerre révolutionnaire, ils ont compris les dangers de la monnaie fiduciaire et des systèmes monétaires basés sur de la dette.
Donc, pour protéger les générations futures contre le vol institutionnel et contre le gouvernement hors de contrôle, ils ont écrit dans la Constitution que seuls l’or et le métal argent peuvent être de l’argent, pour le simple fait que vous ne pouvez pas les imprimer.
Notre système actuel est non seulement inconstitutionnel, mais il nous prive de la liberté et de la prospérité pour lesquels nos ancêtres se sont battus et sont morts. Nous ressentons tous les effets de l’ignorance de la Constitution en ce moment.
En mettant de force plus de monnaie en circulation notre pouvoir d’achat est dilué. L’inflation est une taxe furtive, lente et insidieuse c’est simplement le résultat de ce système monétaire basé sur la dette.
Ce système profite à ceux qui créent la monnaie et qui la reçoivent les premiers puisqu’ils peuvent le mettre en circulation avant qu’il ait un effet sur l’économie.
Ils nous volent notre pouvoir d’achat et le transfèrent aux banques et au gouvernement chaque heure de chaque jour, à cause de ce mauvais système monétaire. Et ce n’est pas comme si les gens d’en haut ne le savaient pas.
Pour citer la Réserve fédérale: « La baisse du pouvoir d’achat subie par les détenteurs de monnaie en raison de l’inflation, apporte des gains aux émetteurs de monnaie. »
Il s’agit d’une fraude, c’est un système pyramidal, il s’agit d’une chaîne de Ponzi, c’est une arnaque et un mensonge. Notre système monétaire entier n’est rien d’autre qu’une forme de vol légalisé.
Mais voici la plus grosse arnaque de toutes : La Réserve fédérale n’est pas fédérale – elle a des actionnaires. Il n’existe aucun organisme fédéral qui a des actionnaires.
Qu’est-ce qu’un actionnaire? Une action représente un pourcentage de participation dans une société, de sorte que les actionnaires sont les propriétaires de cette société.
Par conséquent, la Réserve fédérale est une société privée avec des propriétaires et vous pouvez le voir par vous-même si vous allez sur le site de la Réserve fédérale . Il est inscrit que « les actionnaires reçoivent un dividende annuel de six pour cent. »
Maintenant, nous savons que le stock de la Réserve fédérale était à l’origine émis pour les plus grandes banques des États-Unis, mais par les fusions et acquisitions au fil des années vous ne pouvez pas réellement tracer qui est propriétaire du stock de la Réserve fédérale. C’est un secret très étroitement gardé.
Je dirais que les propriétaires sont les premiers intermédiaires, les banques qui obtiennent de faire un profit en vendant une partie de notre dette nationale, ces obligations, à la Réserve fédérale qui les achète avec un chèque en blanc !
Ensuite, nous payons un impôt pour payer le capital et les intérêts sur ces obligations afin que la Réserve fédérale puisse payer aux banques un dividende de 6%.
Ne vous inquiétez pas si vous ne comprenez pas bien l’arnaque de ce système au premier coup d’œil. Très peu de gens y arrivent. C’est complexe.
L’économiste John Maynard Keynes a écrit: « Ainsi, le gouvernement peut secrètement confisquer la richesse du peuple et pas un homme sur un million détectera le vol. »
Je crois que présenté correctement, n’importe qui peut comprendre le système, quelle que soit sa complexité.
Donc, nous allons faire une récapitulation et de le décomposer encore plus.
La façon dont ce système fonctionne est :
Étape 1 > Le gouvernement crée des reconnaissances de dette. Ces obligations augmentent notre dette nationale, et engagent le peuple pour la rembourser.
Étape 2 > Les reconnaissances de dette sont échangées pour créer de la monnaie. Le Trésor vend ces obligations aux banques. Les banques changent alors de casquette et vendent notre dette nationale à profit à la Réserve fédérale, dont ils sont probablement propriétaires. La Réserve fédérale ouvre alors son carnet de chèques en blanc et achète ces reconnaissances de dette avec des reconnaissances de dette, et les encaisse sur un compte à solde nul.
Ensuite, ils donnent ces chèques aux banques, la monnaie apparaît et le processus se répète.
Il en résulte une accumulation d’obligations à la Réserve fédérale, et de monnaie au Trésor, qui n’est vraiment que création de chiffres.
Le Trésor dépose ensuite les chiffres dans les diverses branches du gouvernement.
Étape 3 > Le gouvernement dépense les chiffres pour des promesses, des travaux publics, des programmes sociaux et la guerre. Ensuite, les employés du gouvernement, les entrepreneurs et les soldats déposent leur salaire dans les banques.
Étape 4 > Lorsque les banques multiplient les chiffres en créant par magie plus de reconnaissances de dette par des prêts de réserve fractionnaire, où ils volent une partie du dépôt de tout le monde pour le prêter.
Cette monnaie est rendue et ainsi une partie est volée à nouveau, et le processus se répète encore et encore, magnifiant l’offre de monnaie de manière exponentielle. Ensuite, nous travaillons pour certains de ces chiffres.
Étape 5 > Nos chiffres sont imposés. Nous payons des impôts à l’IRS qui envoie ensuite nos numéros au Trésor, de sorte que le Trésor puisse payer le principal majoré des intérêts sur les obligations qui ont été achetées par la Réserve fédérale avec un chèque en blanc.
Étape 6 > L’illusion du plafond de la dette. Le système est conçu pour avoir un besoin sans cesse croissant de niveaux de dette et il finira par s’effondrer sous son propre poids parce que les politiciens bottent toujours en touche, ils ne veulent pas qu’il s’effondre sous leur mandat.
Étape 7 > Les propriétaires « secrets » prennent leur part. Les plus grandes banques du monde sont propriétaires de la Réserve fédérale, ces banques font du profit en vendant notre dette nationale à la Fed, ils font du profit quand la Fed leur verse des intérêts sur les réserves détenues à la Fed, et la Fed leur verse un dividende de six pour cent sur leur propriété de la Fed.
Ce système est fondamentalement mauvais. Il véhicule la richesse de la population active vers le secteur bancaire et le gouvernement.
Il est la cause des booms artificiels et des emballements des économies modernes, et il provoque une grande disparité de richesse entre les riches et la classe ouvrière.
ET – il n’est possible que parce que nous n’utilisons plus de l’argent réel, mais de la monnaie papier.
Mais le pire de tout, c’est une forme d’esclavage.
« Bond » (obligation) est la racine du mot « bondage » (servitude). Chaque fois qu’un gouvernement émet une obligation, c’est une promesse de nous faire payer de l’impôt à l’avenir.
Personne ne vous a demandé si vous vouliez payer de l’impôt aujourd’hui pour la prospérité que nous avons tous connu au siècle dernier. Personne ne demande à nos enfants s’ils veulent travailler dur à l’avenir pour payer la prospérité dont nous profitons maintenant.
George Washington a écrit à James Madison: « Aucune génération n’a le droit de contracter des dettes plus forte que ce qui peut être payé au cours de sa propre existence ».
En volant la prospérité de demain, afin de la dépenser aujourd’hui nous asservissons les générations futures.
Maintenant, tout cela semble assez mauvais, mais il y a beaucoup d’espoir car VOUS êtes la plus grande menace de ce système monétaire. Ce système repose sur le fait que le public ignore son fonctionnement.
Merci de partager cela avec ceux que vous connaissez, parce qu’un public informé qui comprend parfaitement le système peut construire un avenir meilleur pour les générations à venir.
Et maintenant, je vous laisse avec cette citation, d’un ancien directeur de la Banque d’Angleterre:
« Le système bancaire moderne fabrique de l’argent à partir de rien. Le processus est peut-être le tour de passe-passe le plus étonnant qui ait jamais été inventé. La banque a été conçu dans l’iniquité et est née dans le péché. Les banquiers possèdent la terre. Prenez-la leur, mais si vous leur laissez le pouvoir de créer l’argent et de contrôler le crédit et avec un coup de stylo, ils créeront assez d’argent pour le racheter. Si vous souhaitez continuer d’être les esclaves des banquiers et de payer le coût de votre propre esclavage, laissez-les continuer à créer de la monnaie, et à contrôler le crédit. »
La Réserve fédérale à Washington DC est située sur Constitution Street, et c’est aussi paradoxal que le fait que la Fed de New York est sur Liberty Street.
Les deux sont anti-constitutionnelles, les deux limitent notre liberté, et transfèrent la richesse loin de nous chaque seconde de chaque jour vers la Réserve fédérale, vers le gouvernement et vers le secteur bancaire.
VOUS faites maintenant parti du un sur un million capable de détecter le vol de votre prospérité.
Alors la grande question est, que pouvez-vous faire à ce sujet?
1. Regardez cette vidéo jusqu’à ce que vous puissiez la décrire et l’expliquer aux autres. Ceux qui comprennent le système peuvent se préparer pour son effondrement inévitable et se protéger. L’histoire montre que ceux qui ne seront pas prêts seront probablement anéantis.
2. Partagez cette vidéo avec tout le monde, en particulier ceux que vous aimez. Postez cette vidéo sur Facebook, Twitter, envoyez-la par mail à vos proches. Partagez-la partout où vous le pouvez.
Le système actuel monétaire mondial est basé sur un schéma vieux de trois cents ans destiné à enrichir une minorité au détriment du plus grand nombre. Il doit y avoir une meilleure voie.
Ron Paul: « Nous devons changer les mentalités des gens et plus les gens comprendront, mieux ce sera, et je pense que nous sommes au point où plus de gens dans les dernières années, depuis quatre ou cinq ans, ont pensé à la Fed plus qu’ils l’ont fait dans les 95 années précédentes. Je pense qu’une explication et un schéma pour le montrer est très utile parce que franchement, ils ne vont pas le faire à l’école primaire, ils ne vont pas le faire au lycée, ils ne vont pas le faire à l’université, sauf si ils sont dans une circonstance particulière pour comprendre comment cela fonctionne. »
Steve Forbes: « Comme nous le savons la Réserve fédérale estime qu’elle peut créer de l’argent à partir de rien, et se rend pas compte de l’argent est censé représenter des produits et services réels et ce que les gens ne réalisent pas, c’est que quand la Fed le fait, comme Keynes l’a fait remarqué, c’est une forme d’imposition, c’est une forme de confiscation et comme les gens ne le voient pas les politiciens s’en sortent, mais cela sape également la confiance sociale, c’est juste corrosif dans la société. Nous allons avoir beaucoup de bouleversements dans les années à venir, mais ça va être le genre de turbulences qui mènent à des choses positives. Donc, ne désespérez pas, sortez et battez-vous parce que le vent va tourner. Cela va être la fin des étatistes. »
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CLUZEAU Léo says
Paysan , d’origine , je ne crois que ce que je vois . Les intellos c’est fait pour vous faire prendre des VESSIES pour des LANTERNES . Un bilan…? on peut lui faire dire tout ce que l’on veut , et son contraire , il suffit d’ajouter des colonnes,provisions pour projets « improbables » , investissement futurs , garanties multiples et fumeuses… l’imagination n’est jamais à court…
Donc le PAPIER c’est du PAPIER… il n’a que la valeur que l’on veut lui faire dire…
RIEN… absolument RIEN de tout cela… du CONCRET que du concret , terres, forêts ,immobiliers, œuvres d’art , antiquités (un outil à main quelconque , depuis1968 est multiplié par 100 au minimum) et bien sûr métaux précieux..
Et puis les pays émergents ne s’en laisserons plus conter…à l’avenir…?!.